Pouvons-nous faire marche arrière et revenir à une organisation du travail « sans télétravail » ? Cela semble impossible surtout à la lecture des nombreux sondages qui plébiscitent la généralisation de cette pratique. Pourtant un tel engouement doit être évaluer au regard du maintien voire de la progression de la performance économique de l’entreprise. Qu’en est-il du côté du collaborateur et plus particulièrement des futurs recrutés ou qui vont arriver sur le marché de l’emploi ? Quel rapport ont-ils avec le télétravail, et de manière plus générale avec cette évolution possible de la relation contractuelle avec l’entreprise ? Est-ce que demain le recruteur devra d’office intégrer voire faire valoir le télétravail comme clé d’attractivité ? Le débat est ouvert.
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